Nouveau • Article •  04.04.2024

À vos marques, prêts, semez !

J'ajoute aux favoris. J'affiche les contenus en favoris Ajouter aux favoris
Un problème est survenu, je reassaye plus tard
À vos marques, prêts, semez !

L’heure des semis de maïs a sonné. Si les premières graines sont déjà en terre, les chantiers devraient s’accélérer dans les semaines à venir. Trop précoces ? Non, pas avec la gamme Sem Expert Dry, dont la génétique s’adapte parfaitement aux implantations début avril.

Les semis de maïs ont réellement démarré mi-mars dans le Sud-Ouest et, notamment, dans le Lauragais. Les premières implantations se sont déroulées dans de très bonnes conditions, profitant de températures et d’un ressuyage optimaux. Les chantiers devraient reprendre dans les jours à venir. « L’objectif, pour les parcelles non irriguées, est de semer tôt pour favoriser un bon développement racinaire et ainsi, permettre aux plantes de mieux résister à une éventuelle sécheresse estivale, explique Damien Marre, chef de marché grain chez Pioneer. La gamme Sem Expert Dry, composée de cinq variétés, est idéale pour ces semis précoces. » En théorie, ces maïs peuvent être implantés jusqu’au 25 avril, mais le créneau idéal se situe avant le 10-15 avril afin d’être sûr d’atteindre les normes d’humidité au 15 septembre.

Le top départ reste du ressort de l’agriculteur

Pour les maïs Sem Expert Dry, le déclenchement des semis est orchestré avec l’aide de vos agents Pioneer, au sein de chaque zone de production. La première étape consiste à réaliser des relevés de températures dans les sols, à 5 et 15 cm de profondeur. « La génétique Sem Expert Dry est bien adaptée aux conditions plus fraîches de début avril, précise-t-il. Une fois que le critère température est atteint, il faut jeter un œil sur la météo des jours à venir pour repérer le créneau propice pour démarrer les chantiers de semis. Bien sûr, cela dépendra aussi de la structure du sol. » Une fois ces trois paramètres validés, l’agent Pioneer envoie un SMS à l’agriculteur pour lui préciser que tous les voyants sont au vert. « Mais le top départ reste du ressort de l’agriculteur, insiste Damien Marre. Il reste le seul à connaître avec précision chacune de ses parcelles et leur état de ressuyage. »

Ces contenus pourraient vous plaire