Face à la diversité des dicotylédones présentes dans les parcelles de colza, les solutions Mozzar/Belkar composent le socle de nombreux programmes herbicides. Leur haut niveau d’efficacité et leur souplesse d’utilisation, reconnus par tous, en font de solides atouts contre le salissement des parcelles.
Entre la levée précoce de nombreuses espèces estivales -chénopodes, mercuriales, datura dans certains cas- et le cortège de dicotylédones plus classiques -géraniums, gaillets, coquelicots- le salissement des parcelles de colza peut être très varié. Pour les parcelles conduites en TCS, techniques culturales simplifiées, laiteron rude et autres espèces de chardons peuvent également apparaître.
Face à l’ensemble de ces situations, l’herbicide de post-levée Mozzar/Belkar constitue un solide allié grâce à sa souplesse d’utilisation pour maîtriser les dicotylédones. La post-levée apporte plusieurs avantages : intervenir sur un colza bien implanté, gérer en tir à vue sur des adventices levées et identifiables, efficacité régulière de haut niveau indépendante des conditions de sol, flexibilité d’intervention, contrôle des espèces les plus nuisibles. L’identification de la flore en présence et le ciblage des adventices jeunes constituent les deux fondements de la stratégie d’intervention. La dose s’ajuste selon le stade et la pression des mauvaises herbes.
Mozzar/Belkar se positionne dès le stade 2-4 feuilles du colza, à la dose de 0,25 l/ha, et jusqu’au stade avant la reprise de végétation. En cas de levées échelonnées de dicotylédones, la solution consiste à fractionner l’intervention : une première fois à la dose de 0,25 l/ha au stade 2-4 feuilles, puis une seconde à la même dose sur des levées plus tardives. Une autre stratégie peut consister à intervenir à pleine dose, 0,5 l/ha, à partir du stade 6 feuilles du colza.
Cette souplesse d’utilisation et son haut niveau d’efficacité, reconnus par tous après cinq années d'utilisation, font de Mozzar/Belkar un allié incontournable des programmes de désherbage du colza.
« Pour le colza, le stade charnière, c’est le stade 4 feuilles. Passée cette étape, la culture en place est moins sensible aux ravageurs. Si, passé ce cap, elle est bien implantée et présente un bon état végétatif, alors l’investissement dans un traitement herbicide sera d’autant plus rentable. Chaque stratégie doit être décidée à la parcelle. » Isabelle Rougerie, responsable technique
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